JOUR 3 > RIO DE JANEIRO : DEODORO
- Eric Poulhe
- 10 août 2016
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 15 avr. 2020
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Comme prévu par la météo, le temps est pluvieux avec une chute de température radicale.
Le bassin est venteux mais les portes lestées ne bougent pas trop.

Après le titre olympique de la veille, Sébastien Combot ne réalise qu’une modeste 8ème place. Il ne semblait jamais être dans le coup que ce soit en demi-finale ou en finale. Compte-tenu de son temps de course, sa touche en fin de parcours est presque anecdotique.





Même si la déception devait être grande, Sébastien est venu rejoindre, encore sous le coup de l’émotion de la course, sa famille et la Tribu regroupée à la buvette. Peu de parole, quelques mots ou regards de réconfort, les larmes des jumelles Mangin. Pas grand-chose à dire, mais les retrouvailles au cœur de la famille du canoë lui ont fait du bien, et très rapidement les sourires et la bonne humeur reprennent le dessus pour partager des photos souvenirs immortalisant ces moments de profonde émotion.


Il est 17 heures, la nuit tombe avec une bruine persistante. Les tribunes et les allées sont désertes, hormis les derniers volontaires de l’organisation qui ferment le site. La Tribu se dirige maintenant vers la sortie et la gare pour le retour vers Rio en attendant la dernière journée de finales du lendemain.
Si Marie-Zélia Lafont est absente, faute de qualification, les chances de podium pour le C2 Klauss-Péché restent entières.
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