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FESTIVAL PLANCHES CONTACT  
LES FRANCISCAINES 

 

ANTOINE D’AGATA > LIGNES DE FRONT

 

Antoine d’Agata, entre deux voyages au Mexique, est venu plusieurs fois l’hiver dernier découvrir la Normandie sous le couvre-feu et a tracé ainsi sa cartographie de la région basée sur des faits historiques marquants et sur son expérience du territoire.

 

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ANNE-LISE BROYER > LE TEMPS EST CACHÉ DANS LE PLI DES FLEURS

 

C’est dans la Normandie des écrivains qu’Anne-Lise Broyer nous emmène. Elle parle ici « de la Normandie comme un lieu d’écriture, de tracer une ligne qui relie des livres entre eux, des moments de vie qui n’ont pas grand-chose en commun si ce n’est un territoire et le fait qu’ils constituent pour [elle] un réel éveil au monde tant littéraire que politique. Cet ensemble d’images traversé par l’actualité, interroge le retour de cette mémoire dans le présent, l’histoire qui se rejoue, tout en montrant l’endroit où, pour ces auteurs, l’écriture a éclos. »

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JOAN FONTCUBERTA ET PILAR ROSADO > DÉJÀ VU

 

À l’occasion de l’ouverture des Franciscaines, le festival a invité Joan Fontcuberta et Pilar Rosado à découvrir les collections de la ville. Lorsque la caméra et l’œil commencent à être remplacés par les algorithmes et l’intelligence artificielle dans l’ensemble de la culture visuelle, il est nécessaire de repenser le rôle des images et du patrimoine artistique qui ont jusqu’à présent contribué à forger notre sensibilité.

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TÉO BECHER > HOME SENSATIONS

 

La figure de la maison renvoie pour Teo Becher à des histoires : celles des personnes qui l’ont habitée, mais aussi celles de la maison elle-même, où cette dernière prend la place de narratrice. Une lumière allumée, un rideau fermé, une fenêtre entrouverte sont autant d’amorces de récits sur lesquels s’appuyer. A travers une déambulation nocturne, Teo Becher magnifie ici l’architecture normande.

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CÉLINE CROZE > LE TEMPS EST CACHÉ DANS LE PLI DES FLEURS

 

Dans la nuit, Céline Croze nous invite au voyage entre les deux mondes : « celui d’avant » et « celui d’après », dans ce « virage » que connait l’humanité aujourd’hui. Une errance personnelle normande, ou métaphores, rencontres et rayons de lumière ponctuent ce silence « insolent ».

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ANTOINE LECHARNY > CÔTÉ FENÊTRE

 

Dans une succession d’allers-retours en train entre Deauville et Paris, Antoine Lecharny saisit depuis sa fenêtre le paysage qui est offert aux voyageurs ; les rails, les corps de ferme, les barres d’immeuble... De nuit, de jour, Antoine Lecharny dresse un portrait du trajet ponctué d’apparitions de visages.

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ALISA MARTYNOVA > WHERE THE SONS OF ETERNITY SINGING

 

Dans la continuité de son projet Nowhere Near, mené en Italie, Alisa Martynova dans un dialogue entre portraits et paysages énigmatiques, nous raconte ses rencontres avec des migrants, originaires de différents pays du continent africain : Rwanda, Congo, Sénégal, Nigeria, Mali, Sierra Leone ou Guinée. Certains d’entre eux sont arrivés en Normandie il y a plus de dix ans, d’autres se sont installés il y a seulement quelques années ; tous ont des histoires et des espoirs différents, tous parlent au moins deux langues et trois ou quatre dialectes, certains rejettent leur culture d’origine, d’autres les chérissent près de leur cœur.

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© 2017 Eric Poulhe Photographie

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