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FESTIVAL L’HOMME ET LA MER 
CÔTÉ TERRE

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VÉRONIQUE DURRUTY > MAMI WATA, L’ESPRIT DE L’EAU

 

Cette série présente une cérémonie vaudou dédiée à Mami Wata, sur la côte atlantique du Togo. Mami Wata est l’esprit de l’eau, traditionnellement présentée sous les traits d’une femme sirène. L’adoration qu’on lui voue est indissociable de l’importance accordée à l’eau comme élément vital.

Cette série s’inscrit dans la démarche de Véronique Durruty, qui interroge la réalité, la puissance de l’imaginaire et de l’invisible à travers des voyages réels ou intérieurs. Lors de ses voyages sur le globe, elle s’intéresse particulièrement aux religions animistes et chamanistes qui ouvrent à d’autres dimensions​.

 

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MARGAULT DEMASLES > 8 MOIS SUR L’OCEAN GLOBE RACE

 

Margault Demasles a embarqué en septembre 2023 comme photographe, sur un voilier participant à l’Ocean Globe Race (OGR), sans jamais avoir navigué. Il s’agit d’un tour du monde à la voile en équipage d’où toute haute technologie est bannie : pas d’ordinateurs ou de GPS, la navigation s’effectuant au sextant et les informations météo étant fournies par radio.

L’OGR est considéré comme une aventure mondiale, pour des marins ordinaires sur des yachts standards. Sur un équipage, seule exigence pour concourir : 70 % de non professionnels, un jeune de moins de 24 ans et une femme. Margault a donc vécu avec 7 co-équipiers sur un bateau de 15m2 et posé pied à terre seulement trois fois en l’espace de huit mois (Le Cap, Auckland et Punta del Este). Sans téléphone portable, avec pour seul repère temporel sa montre, mais avec le désir de découvrir un nouveau monde et de le documenter​.

 

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LOUISE A. DEPAUME > TROUBLE

 

Passionnée de techniques photographiques anciennes, Louise A Depaume a choisi le cyanotype pour donner vie à ses portraits. Grâce à cette technique, le bleu de Prusse envahit l’eau et se mêle aux corps des modèles les rendant parfois abstraits, à la limite de la réalité.

La photographe précise que cette série « nous plonge dans notre inconscient le plus profond et son étreinte est source d’angoisses, de stress et d’inquiétudes. Pourtant on s’y abandonne comme à l’appel de l’océan, épris d’une nostalgie enfantine, souvenir d’une symbiose maternelle. Elle est l’essence de la vie, nourriture universelle… À sa surface, une petite mort, un instant suspendu où l’être perd toute identité, fait disparaitre quelques parties de nous-même… Notre imagination comme l’immensité de la mer, fait écho à nos émotions et telle une poésie chacun y voit et interprète sa propre histoire ».

 

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FAB RIDETI > NAPHTA* TRIBES

 

Avec la série Naphta Tribes, Fab Rideti choisit l’humour pour sensibiliser à l’usage abusif du plastique et à son impact sur les océans. Elle invente un univers théâtral avec des personnages hauts en couleur qui invitent au rêve et à la réflexion.

Elle met en scène les derniers représentants de notre civilisation, les « fondateurs » du 7ème continent. Tels des guerriers dérisoires, ses personnages se parent de plastique, une matière qu’ils prétendent noble alors qu’elle est en train de causer leur perte.

Fab Rideti a réalisé l’ensemble des costumes à partir d’accessoires de plage en plastique récupérés sur les plages ou recyclés. Une façon de battre en brèche consumérisme et culte de l’apparence.

 

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ALEXANDRA FRANKEWITZ > RESPIRATION PORTUAIRE

 

Le port de Sète est un endroit clos qui fait partie intégrante de la ville. C’est un lieu qui se vide et se remplit, telle une respiration régulière. Il laisse passer les bruits, les odeurs de bétail ou de la trituration des graines pour produire de l’huile et des bio-carburants. De l’extérieur, on ne voit, au loin, que les allers et venues des bateaux.

Avec cette série, Alexandra Frankewitz s’éloigne du style documentaire narratif qu’elle pratique depuis ses débuts. Elle a décidé d’aborder la vie du port de manière très onirique en s’y rendant aux premières heures du matin. Elle s’est accordée le temps de flâner, de s’imprégner du territoire, afin de laisser place à l’imaginaire. Sur ce projet, elle a travaillé avec Cécile Février, créatrice sonore. Cela a donné lieu à un P.OE.M. (Petite Œuvre Multimédia) édité sous forme de coffret aux éditions l’Échappée Belle​.

 

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© 2017 Eric Poulhe Photographie

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